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  Examen régional Tanger Tétouan 2014 ( le dernier jour d’un condamné chapitre 11 ) TEXTE Examen régional Tanger Tétouan 2014 Puisque le jour ne paraît pas encore, que faire de la nuit ? Il m’est venu une idée. Je me suis levé et j’ai promené ma lampe sur les quatre murs de ma cellule. Ils sont couverts d’écritures, de dessins, de figures bizarres, de noms qui se mêlent et s’effacent les uns les autres. Il semble que chaque condamné ait voulu laisser trace, ici du moins. C’est du crayon, de la craie, du charbon, des lettres noires, blanches, grises, souvent de profondes entailles dans la pierre, ça et là des caractères rouillés qu’on dirait écrits avec du sang. Certes, si j’avais l’esprit plus libre, je prendrais intérêt à ce livre étrange qui se développe page à page à mes yeux sur chaque pierre de ce cachot. J’aimerais à recomposer un tout de ces fragments de pensée, épars sur la dalle ; à retrouver chaque homme sous chaque nom ; à rendre le sens et la vie à ces inscriptions mutilées

  Production écrite Sujet   Pensez-vous que les enfants des condamnés exécutés sont   méprisés par la société ?   Répondez à la question sous forme d’un texte dans lequel vous exprimerez votre opinion en donnant des arguments et des exemples précis    Il s’agit d’une production écrite rédigée en adoptant le plan dialectique, c’est-à-dire avancer les arguments de la thèse et d l’antithèse dans la partie du développement et de faire une synthèse et le point de vue dans la conclusion. Rédaction    Nul ne peut nier que la conséquence directe de la peine de mort c’est d’avoir -dans la société- des enfants orphelins. Certains disent que ces enfants sont méprisés par la société, d’autres affirment le contraire. Alors, quels sont les arguments de chaque partie ?       D’un côté, ceux qui disent que les enfants des condamnés sont méprisés par la société soutiennent leur thèse par un bon nombre d’arguments : premièrement, ces enfants sont considérés comme étant des criminels qui constituent un d

CHAPITRE XLIX(49) Qu’a demandé le narrateur au magistrat ? Le narrateur a demandé au magistrat une grâce. Comment était la réponse du magistrat ? La réponse était négative et ironique. Pourquoi le narrateur a-t-il demandé cinq minutes ? Il a demandé cinq minutes de plus parce qu’il espérait avoir une grâce à la dernière minute. Hélas ce ne fut pas le cas. Que ressentait le narrateur avant son exécution ? Le narrateur est pris de panique en entendant les bourreaux monter le chercher pour l’exécuter. A quelle heure l’exécution a-t-elle eu lieu ? Elle a eu lieu à quatre heures de l’après-midi (16h). L’indicateur temporel « QUATRE HEURES) met un terme à toute forme d’espoir d’échapper à la mort. Il pourrait être considéré comme le couperet de la guillotine qui tranche la tête du condamné et qui met fin au roman.  

  CHAPITRE XLVIII(48) Partagez ce chapitre en deux parties et donnez un titre à chacune d’entre elles. -La première partie relate les préparatifs du condamné dans la Conciergerie (retour en arrière). -La deuxième relate le trajet dans la charrette de la Conciergerie vers l’échafaud (retour en arrière). Où se trouve le narrateur ? Comment se sent-il ? Il se trouve dans une chambre de l’hôtel de ville (avec retour en arrière à la conciergerie et le transfert). Il se sent faible mais déterminé à subir sa condamnation. Où sera-t-il conduit ? Comment le prépare-t-on à cette épreuve ? Il sera conduit à la place de Grève pour être exécuté. On le prépare physiquement en lui faisant la toilette du condamné. Comment le peuple est-il qualifié ?   Le peuple est qualifié d’animal qui hurle (pousse des cris). Relevez le champ lexical du peuple animalisé. Le peuple qui aboie/ la foule hurlait/ les mille têtes hurlantes. Montrez que la foule est présentée comme une seule entité

  CHAPITRE XLVII(47) Pourquoi cette lettre ne figure-t-elle pas dans le roman ? Cette lettre ne figure pas dans le roman parce que le manuscrit a été égaré.

  CHAPITRE XLVI(46) Qu’est-ce que le narrateur a décidé d’écrire ? Il décide d’écrire quelques pages pour sa fille lui expliquant pourquoi il lui a laissé un nom de famille déshonorant. Pourquoi le narrateur a-t-il décidé d’écrire pour sa fille ? Le narrateur croit que sa fille a le droit de savoir l’histoire de son père.

  CHAPITRE XLV(45) Quel est le temps verbal employé et pourquoi ? Le temps employé est le futur simple. Son emploi est justifié par l’approche de la mort. En plus, il vit sa mort par anticipation. A quoi le peuple est-il assimilé (comparé) ? Le peuple est décrit comme un être insensible aux souffrances du condamné. Un être sadique qui tire du plaisir dans les souffrances des condamnés.