Exemples de rédactions

 Exemples de rédactions

Voici des exemples de rédactions simples et sans prétention.


Sujet 1 : Solitude ou compagnie ?

      La compagnie ou la solitude, que choisir ? les préférences à ce sujet sont différentes d’une personne à l’autre.  Avons-nous vraiment besoin des autres ?


      L’homme est un être fait pour vivre en société. Il est impossible de vivre seul et isolé des autres à moins d’être fou. Nous avons besoins des autres. Nous avons besoins de leur parler, de leur demander leur avis sur un sujet donné car deux têtes qui réfléchissent valent mieux qu’une.

      Nous avons besoin de leur demander de l’aide. En effet, personne ne peut prétendre qu’il peut seul gérer sa vie. Quand, je ne comprends pas quelque chose, je demande une explication.

      Nous avons besoin de leur confier nos secrets qui pèsent sur nos cœurs, de leur consolation quand nous sommes tristes et de leur présence dans les moments difficiles ou pour partager notre joie.

      Il est cependant triste de voir parfois nos secrets divulgués ou d’être l’objet de médisance ou encore d’être toujours vu comme une source de soutien et d’aide sans contrepartie ou bien aussi d’être l’objet de jalousie et d'envie sans raison. Par ailleurs, certains qu’on considère comme amis peuvent nous entrainer dans des situations fâcheuses. Dans ce cas, il est plutôt préférable d’être seul.

      Personnellement, je pense qu’il est impossible de vivre sans compagnie et que pour éviter toute mauvaise relation  bien choisir les personnes que nous fréquentons.


 


Sujet 2 : Parents et enfants ?

      Souvent, on voit des parents prendre des décisions en ce qui concerne la vie de leurs enfants. Est-ce une bonne manière d’éduquer ? Ne doit-on pas plutôt laisser aux enfants la liberté de décider en ce qui les concerne ?


     Les parents sont les personnes qui ont donné la vie à des enfants. Ils ont beaucoup souffert pour les élever et les éduquer. Ils veulent que leurs enfants soient meilleurs qu’eux et pour cela, ils ont plus ou moins consciemment un objectif pour leurs enfants. Une image à laquelle ils veulent que leurs enfants soient conformes. Ainsi, ils leur choisissent l’école où ils vont s’instruire, les vêtements qu’ils doivent porter, les livres qu’ils doivent lire, les films qu’ils doivent regarder etc. Bien sûr avec le temps, les enfants vont imposer leurs choix en ce qui concerne ces choses. Cependant, pour ce qui est de leur avenir, les parents ont souvent leur dernier mot.

     Décider de l’avenir des enfants peut avoir des conséquences fâcheuses pour les enfants. En effet, à l’école, les enfants ne sont pas tous les mêmes et développent des tendances différentes pour les matières enseignées. Certains sont plutôt « littéraires » alors que d’autres sont plutôt « scientifique ». Vouloir à tout pris ranger les premiers dans la case des seconds sous prétexte que ceux-ci ont un avenir meilleur peut être préjudiciable pour l’avenir des enfants. En suivant le choix des parents, ces enfants ne vont pas aller plus loin car ils feront quelque chose qu’ils n’aiment pas. Et on fait souvent mal quelque chose qu’on n’aime pas. Par conséquent, l’échec est souvent au rendez-vous.

     Personnellement je pense qu’il faut respecter le choix des enfants, les discuter avec eux mais sans imposer les siens. Laisser l’enfant faire ce qu’il aime peut avoir des conséquences positives sur son avenir et son épanouissement.


 


Sujet 3 : la peur et l'éducation

      Beaucoup de parents pensent que le meilleur moyen d’élever les enfants est de les assujettir par l’autorité en leur faisant peur. Est-ce une bonne manière d’éduquer les enfants ?


     L’éducation des enfants n’est pas une tâche facile et on ne nait pas un bon éducateur. Certains parents croient que pour se faire obéir, il est nécessaire d’avoir le bâton à la main ou avoir une langue de vipère. Ils pensent qu’en terrorisant l’enfant, ils parviendront ainsi à obtenir d’eux ce qu’ils veulent. Ils croient que l’autorité basée sur la terreur est la meilleure façon de « bâtir » un vrai descendant docile et obéissant.

     Cependant, ce qu’ils ignorent c’est que de cette manière, ils forment un timide qui aura beaucoup de difficultés à trouver une place dans la société ou un révolté qui se retournera contre eux et contre la société.

     Par ailleurs, laisser faire un enfant sans jamais intervenir le gâtera et lui fera croire qu’il peut tout obtenir rien qu’on commandant. Cela le privera de la joie de découvrir par soi-même et de valoriser l’effort et le travail.

      Je pense qu’une bonne éducation doit être basée sur l’amour juste, sur l’accompagnement et l’enseignement des valeurs de respect, de confiance en soi, de l’estime de soi et des autres, de la reconnaissance, de la gratitude, de l’esprit critique et de l’initiative. Il faut aider l’enfant à découvrir par soi-même en cultivant en lui la curiosité et la recherche. La peur ou l’anarchie ne feront qu’un mauvais citoyen.




Sujet 4 : Le conflit des générations

      Selon certains les jeunes d’aujourd’hui manquent de respect aux adultes et pensent avoir toujours raison. S’agit-il vraiment d’un manque de respect comme on a tendance à le croire ou les adultes sont incapables de comprendre les jeunes et leur époque ?


      Le conflit entre les générations a toujours existé. La première génération a toujours vu en la seconde une génération de révoltés, de mal adapté et d’irrespectueux. Les adultes ont-ils oublié qu’ils étaient en conflit avec leurs prédécesseurs ?

     Le monde d’aujourd’hui est très différent de celui d’autrefois. Les adultes ont beaucoup de mal à assurer une éducation à laquelle ils participent en grande partie comme cela était le cas autrefois. Le monde d’aujourd’hui est dominé par l’information qui est à la portée de tous. Les jeunes communiquent entre eux par des moyens qui n’existaient pas autrefois et qui les rapprochent en temps réel. Les limites de l’espace n’existent plus. On peut communiquer par l’image et le son avec n’importe qui dans le monde. Il s’agit du phénomène de l’Internet et son évolution ultra rapide. Evolution à laquelle les adultes sont restés, en majorité, à la marge et sur laquelle ils n’ont aucune emprise.

      Ce phénomène a tendance à isoler les jeunes quand ils sont chez eux. En effet, ils passent beaucoup de temps devant leurs ordinateurs et semblent s’y intéresser plus que toute autre chose.  Quand les adultes interviennent  pour les rappeler à la réalité, les jeunes considèrent cela comme une intrusion dans ce qui ne les concerne pas, d’où la naissance des conflits.

     Cependant, une autre catégorie de jeunes réagit violemment pour des causes liées à la consommation de stupéfiants qui agissent négativement sur leur caractère. Ceux-ci nécessitent un appui psychologique pour les aider à sortir de cette expérience dans laquelle ils se sont engagés de bon gré ou malgré eux.

     Les adultes doivent faire un pas vers les jeunes et changer leur façon de les considérer en instaurant avec eux un véritable dialogue. Ils doivent faire l’effort de les comprendre et essayer de s’adapter au changement que connaît le monde. De cette façon ils peuvent même éviter que les jeunes cherchent refuge dans la drogue et les mauvaises fréquentations.

      Enfin, les adultes sembles ignorer la sagesse d’Ali Ibn Taleb quand il affirme : « Ne contraignez pas vos enfants à vos habitudes car ils sont nés pour une époque qui n’est pas la votre. »


 


Sujet 5 : La relation de voisinage

On dit que les voisins, aujourd'hui, ne sont plus ce qu'ils étaient autrefois : ils aidaient les vieux, les veuves et se comportaient bien avec  les enfants. Aujourd'hui, chacun ne pense qu'à ses propres intérêts.

Partagez-vous ce point de vue ?

Développez votre réflexion en vous appuyant sur des arguments et des exemples précis.



 Introduction

      Certains pensent que les voisins, aujourd'hui, ne sont plus ce qu'ils étaient autrefois : ils aidaient les vieux, les veuves et se comportaient bien avec  les enfants et qu’aujourd'hui, chacun ne pense qu'à ses propres intérêts. Cela est-il vrai ? Pourquoi ce changement dans la relation de voisinage ?

Développement

     Autrefois, les moyens de divertissement interne tels que la télévision étaient rares. Les gens donc avaient plus de temps et communiquaient plus entre eux. Ils s’invitaient même sans occasion et parlaient autour d’un plateau de thé, ou bien simplement devant les portes des maisons.

     D’un côté, les femmes ne travaillaient pas beaucoup à l’extérieur. Elles avaient donc plus de temps et pouvaient ainsi aller chez les voisins, rendre service et aider ceux ou celles qui ont en besoin. Ainsi, les gens se connaissaient mieux et avaient confiance les uns en les autres.

     D’un autre côté, la population des quartiers était moins nombreuse. Les gens se rencontraient souvent et se connaissaient bien. Et quand le besoin d’aide à une personne se fait sentir tout le monde accourait et faisait de son mieux.

     Aujourd’hui, les choses ont changé. La vie est devenue chère et la femme est obligée de sortir du foyer pour travailler. Les gens sortent très tôt le matin et reviennent tard le soir. Ils ne se voient donc que rarement. Et quand ils sont chez eux, ils sont fatigués, se reposent devant la télé et se couchent tôt. Ils n’ont donc pas le temps de voir leurs voisins ni de leur parler et souvent ils ne savent même pas ce qui se passent à côté.

     En outre, avec l’exode rural, les quartiers sont envahis de nouveaux habitants avec de nouvelles valeurs, de nouvelles habitudes et de nouvelles coutumes.

     Par ailleurs, l’augmentation du crime et de la consommation de la drogue font que les gens deviennent de plus en plus méfiants.

 Conclusion

     Pour conclure, je pense que ce qui a provoqué ce changement ce n’est pas la nature des gens mais ce sont ces différents facteurs dont j’ai parlé plus haut.




Sujet 6 : de l'éducation des enfants

       L’éducation des enfants est une affaire délicate. Si on ne sait pas s’y prendre, on risque de passer à côté de cette noble mission. Faut-il au nom de l’amour pour les enfants faire tout à leur place ?


     L’enfant est un être actif, en perpétuelle évolution. Il a besoin de manipuler les choses pour apprendre. Il a besoin d’expérimenter par lui-même et de se confronter à son environnement pour mieux le connaitre. Si on l’empêche en voulant faire les choses à sa place, on risque de commettre envers lui un « crime éducatif ». En effet, l’enfant grandira et sera un fainéant, incapable de compter sur lui-même. Un enfant gâté qui pleurera au premier contact avec la réalité qui n’est pas aussi tendre qu’une maman poule.

     Par ailleurs, il ne sera jamais responsable de sa propre vie. J’ai connu beaucoup de jeunes incapable de préparer une omelette ou de ranger leur propre lit. Les parents ne seront pas toujours avec les enfants. Il faut donc que ces derniers apprennent à se débrouiller seuls. C’est de cette façon qu’ils auront une personnalité forte et indépendante.

      A mon avis, faire les choses à la place des enfants c’est non pas les aimer mais les détester car on les prive ainsi de la joie d’apprendre, de découvrir et d’être responsable.


 


Sujet 7 : Famille et mariage .

      Le mariage est une responsabilité que les jeunes doivent assumer pour fonder une nouvelle famille. Se marier et rester avec sa famille dans la maison familiale peut-il amener les jeunes à assumer cette responsabilité ? Ne vont-ils pas rester dépendants des parents ?

      Se marier c’est fonder une famille avec toutes les responsabilités que cela implique. Responsabilité de la nourriture, de l’éducation des enfants… Ces responsabilités ne peuvent être accomplies pleinement s’il n’y a pas assez de liberté pour affirmer ses choix. Or cette liberté ne peut être acquise si on reste dans la maison familiale. En effet, les parents auront toujours tendance à intervenir dans l’éducation des enfants et dans les décisions des jeunes mariés. Cette action aura pour effet des conflits qui pourraient avoir des conséquences négatives sur la relation entre les jeunes mariés car ils verront, ou au moins l’un d’eux, verra dans l’intervention des parents une immixtion dans ce qui ne les regarde pas.

     Quitter la maison familiale pour fonder une famille est, à mon avis, plus qu’une obligation, mais une nécessité et un devoir pour vivre sa vie comme on la conçoit et réaliser son rêve de bâtir une famille telle qu’on la désire. De la même manière la relation avec les parents restera toujours imprégnée d’amour et de respect.



Sujet 8 : parents / enfants .

 Il arrive que certains parents se disputent devant leurs enfants sans trop se soucier des conséquences de leurs actes. À partir de votre expérience personnelle, rédigez un texte argumentatif où vous montrerez les effets de ces scènes de ménage sur l'éducation des enfants et les relations familiales.

     Les disputes entre les parents est une chose normale car les malentendus sont humains. Malheureusement certains parents expriment leur colère l’un contre l’autre en présence des enfants. Ce comportement peut-il avoir des répercutions sur ces derniers ?

     Si le meilleur moyen pour régler les différents reste le dialogue, il existe néanmoins certaines personnes qui recourent aux gros mots sinon aux mains pour ‘résoudre’ un éventuel malentendu. Ces personnes se laissent dominer par la colère et n’écoutent plus la voix de la raison. Ce genre de comportement existe et on peut l’observer souvent dans la rue. Toutefois, là où cela devient insupportable et inadmissible c’est quand il s’agit des parents et en plus devant leurs propres enfants. Sans chercher les raisons pour lesquelles ceux-ci  recourent à ce genre de comportements négatifs, nous allons essayer de voir ce qui se passe chez les enfants.

     En effet, ceux-ci se contentent dans la plus part des cas de pleurer ou de se cacher dans leurs chambres en attendant que le calme revienne dans la maison. Mais que peut-il bien se passer dans leur petite âme ? Dieu seul le sait. Une chose est cependant sure, elle sera blessée et ils remettront en cause leur relation avec leurs parents. De plus, il n’y aura plus de place pour le respect et les enfants en feront preuve dès qu’ils seront grands.

     Si les parents sont assez stupides pour se disputer, ils devront au moins choisir le moment où les enfants seront absents. Ils éviteront ainsi de  donner une image négative de ceux qui doivent être considérés comme modèles.


 


Sujet 12 : parents / enfants : question de liberté .

« On dit que les parents doivent laisser plus de liberté à leurs enfants. Ainsi, ces enfants pourront faire tout ce qu'ils veulent.»


Partagez-vous ce point de vue ? Développez votre réflexion en vous appuyant sur des arguments et des exemples précis.


     Certains pensent que les parents doivent laisser plus de liberté à leurs enfants croyant qu’ainsi ceux-ci pourront faire ce qu’ils veulent. Que se cache-t-il derrière ce choix éducatif ? Si le mot « liberté» semble attrayant, ne cache-t-il pas pour autant une forme éducative dangereuse pour les enfants ?

     Les enfants sont des êtres en devenir. Ils grandissent, se développent et apprennent. Ils ont besoin d’être guidés et dirigés jusqu’à ce qu’ils atteignent un âge leur permettant d’être complètement indépendants. Ce phénomène, on l’observe aussi dans le règne animal. En effet, les animaux ne laissent jamais leurs petits s’aventurer seuls dans le voisinage et ceux qui auront le malheur de désobéir à ce principe périssent.

     Il en va de même pour les humains. Ce n’est pas parce que ces derniers sont supérieurs qu’ils doivent faire exception à cette règle de la nature. Laisser l’enfant apprendre par lui-même c’est bien ; mais si cet apprentissage peut nuire à sa vie ou lui causer un grave dommage, il est du devoir des parents d’intervenir. Cette intervention ne doit pas être perçue comme une limite de la liberté mais comme une attention nécessaire à la survie. C’est le cas par exemple d’un enfant qui tente d’ouvrir le gaz, de toucher une prise de courant électrique ou de sortir d’une fenêtre.

     Il est vrai que le rôle des parents ne doit pas les pousser à opérer des choix quant à l’avenir et aux goûts de leurs enfants. Si les parents imposent leur choix sur le type d’étude que l’enfant doit poursuivre alors que lui n’aime pas la discipline en question, cela risque d’avoir des conséquences négatives sur son avenir.

     En définitive, je pense que les parents doivent assurer la survie de leurs enfants mais leur laisser la liberté du choix en ce qui concerne leurs goûts et leurs études.




Sujet 13 : de l'usage de la violence .

 Sidi Mohammed a usé de la violence pour régler ses problèmes avec Zineb. Pensez-vous que le recours à la violence soit le moyen le plus efficace pour résoudre les problèmes de la vie quotidienne?

Répondez à cette question dans un écrit argumenté illustré d'exemples précis.


     Chaque jour nous voyons des gens, grands et petits, recourir à la violence pour régler leurs problèmes. Est-ce une bonne façon d’agir ? N’y a-t-il pas d’autres moyens plus pacifiques et plus efficaces que la violence pour régler les différents ?

     Le recours aux mains ou aux altercations pour mettre fin aux petits problèmes est une pratique courante dans le monde des enfants. C’est plus une question de supériorité des uns sur les autres que les enfants ont tendance à prouver qu’une tentative de résolution d’un quelconque problème. L’issue est en général, fort heureusement, sans réels dégâts. Ils oublient vite leurs disputes et retournent jouer le lendemain comme si de rien n’était. Ce sont des enfants.

     La violence est un problème quand elle est utilisée par les grands. En effet, ceux-ci accompagnent leur violence d’un sentiment de rancune et de vengeance ce qui lui donne un caractère durable et une issue généralement préjudiciable. Ce sont eux qui sont à blâmer car ils sont grands et disposent d’autres moyens pour régler leur litige. C’est la raison pour laquelle il existe des tribunaux.

     Si les dégâts causés par ce genre de disputes cités plus haut sont de simples blessures et dans de rares cas des pertes humaines, le problème est beaucoup plus grave quand il s’agit des Etats. Dans ce cas, les guerres qui sont utilisés comme ultime solution engendrent des conséquences inimaginables de morts et de malheurs.

     Au lieur d’utiliser la force pour mettre fin à une situation conflictuelle, on pourrait essayer d’autres moyens moins couteux et qui pourraient être plus efficaces. Le dialogue me semble un très bon moyen s’il est accompagné d’un esprit de tolérance, de pardon, de bonté, d’altruisme et de dénégation. On peut obtenir, grâce à la bonté, ce qu’on ne peut obtenir par la violence. Et si la violence était inévitable, on peut chercher à la dévier à la manière de Vendredi, qui au lieu de frapper son ami Robinson, a crée une sorte de poupée qui le représente. Ainsi, au lieu de blesser son ami, il tape sur la poupée et déverse sa colère sur elle laissant son ami indemne.

     Une bonne leçon de civilisation donnée par un sauvage à un homme civilisé !

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